Un conseil de lecture (jeunesse) #43

Fil d'ariane

La fille roi du pays mauditAccueilPlongez dans un conte irlandais

 

 

 

 

La fille roi du pays maudit, de Catherine Doyle, aux éditions Bayard jeunesse

Au cœur du Connemara, par un été pluvieux, Amy et son frère Liam arrivent pour passer une semaine de vacances chez leur grand-mère Dorothy. Elle habite une petite maison jaune, dont l’intérieur sent bon le crumble à la rhubarbe, et où les murs sont remplis de livres. Dorothy en a même écrit un, qui parle d’un royaume légendaire appelé Tír na nÓg. Amy est fascinée par cette histoire.

Le lendemain matin, elle décide de partir à l’aventure avec son frère et d'explorer les environs. Alors qu'ils sont à la recherche de grenouilles, ils sont attirés par un grand oiseau blanc qui semble les inviter à le suivre. Ils arrivent ainsi à une cascade. Celle-ci est particulièrement étrange : elle coule dans le mauvais sens, de bas en haut. L’oiseau fonce dedans et disparaît. Amy ne peut résister à son envie de le suivre. Et Liam n’a d’autre choix que de traverser la cascade à son tour.

Ils arrivent alors dans un monde merveilleux, où les arbres sont plus grands que tout ce qu’ils ont pu voir jusqu’à présent. Au milieu d’eux, un petit écureuil semble les surveiller.

Amy est d’abord enthousiaste, jusqu’au moment où elle aperçoit le soleil : un soleil éclatant, un soleil immobilisé par une chaîne géante serrée autour de lui. Elle se rend alors compte que quelque chose dans ce monde est anormal.

La fille roi du pays maudit est un roman de fantasy très réussi, qui rappelle par certains aspects Les chroniques de Narnia ou encore Le Seigneur des anneaux. On y rencontre tous les ingrédients pour une histoire captivante : toutes sortes de créatures légendaires, un mage maléfique et une jeune fille à la tête d’un royaume maudit.

A partir de 10 ans

 

Marie

 

Pour réserver le livre, cliquez ici

La fille roi du pays mauditAccueilPlongez dans un conte irlandais

 

 

 

 

La fille roi du pays maudit, de Catherine Doyle, aux éditions Bayard jeunesse

Au cœur du Connemara, par un été pluvieux, Amy et son frère Liam arrivent pour passer une semaine de vacances chez leur grand-mère Dorothy. Elle habite une petite maison jaune, dont l’intérieur sent bon le crumble à la rhubarbe, et où les murs sont remplis de livres. Dorothy en a même écrit un, qui parle d’un royaume légendaire appelé Tír na nÓg. Amy est fascinée par cette histoire.

Le lendemain matin, elle décide de partir à l’aventure avec son frère et d'explorer les environs. Alors qu'ils sont à la recherche de grenouilles, ils sont attirés par un grand oiseau blanc qui semble les inviter à le suivre. Ils arrivent ainsi à une cascade. Celle-ci est particulièrement étrange : elle coule dans le mauvais sens, de bas en haut. L’oiseau fonce dedans et disparaît. Amy ne peut résister à son envie de le suivre. Et Liam n’a d’autre choix que de traverser la cascade à son tour.

Ils arrivent alors dans un monde merveilleux, où les arbres sont plus grands que tout ce qu’ils ont pu voir jusqu’à présent. Au milieu d’eux, un petit écureuil semble les surveiller.

Amy est d’abord enthousiaste, jusqu’au moment où elle aperçoit le soleil : un soleil éclatant, un soleil immobilisé par une chaîne géante serrée autour de lui. Elle se rend alors compte que quelque chose dans ce monde est anormal.

La fille roi du pays maudit est un roman de fantasy très réussi, qui rappelle par certains aspects Les chroniques de Narnia ou encore Le Seigneur des anneaux. On y rencontre tous les ingrédients pour une histoire captivante : toutes sortes de créatures légendaires, un mage maléfique et une jeune fille à la tête d’un royaume maudit.

A partir de 10 ans

 

Marie

 

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Extrait

« Liam finit par s’assoupir, le cou tombant, sa tête se balançant de droite à gauche. De longues heures d’écoulèrent encore, pendant lesquelles il ne cessa d’alterner entre somnolence agitée et réveils en sursaut, puis une nouvelle angoisse le saisit. Au début, il crut que son imagination lui jouait des tours, mais à mesure que le jour s’étirait toujours plus, sans que la nuit ne vienne, ses peurs se confirmèrent. Le soleil de Tír na nÓg ne se couchait jamais, ce qui rendait impossible de déterminer le moment de la journée. »